Triste étranger à ma mère morte: Une ode poétique à la perte et au deuil

La perte de celle qui nous a donné la vie est incontestablement l'une des douleurs les plus profondes que l'âme humaine puisse ressentir. Lorsqu'on perd sa mère, on se sent souvent comme un triste étranger dans un monde qui semble soudain si vide et dépourvu de sens. Dans cet article, nous explorerons cette thématique de la douleur et du deuil à travers une série de poèmes touchants.

Índice
  1. La mère
    1. Par Alphonse de Lamartine
  2. Étranger à moi-même
    1. Par Jeanne Milewski
  3. L'absence
    1. Par Paul Verlaine
  4. Triste étranger
    1. Par Anonyme

La mère

Par Alphonse de Lamartine

La mère est créée par un Dieu merveilleux,
Elle est une âme qui nourrit son enfant,
Son amour est comme un rayon lumineux,
Qui réchauffe nos cœurs, tel un doux printemps.

La mère, c'est celle qui nous a porté,
Qui a partagé nos joies et nos peines,
Sa voix réconfortante nous a guidés,
Sur les chemins sinueux de cette vie incertaine.

Étranger à moi-même

Par Jeanne Milewski

Depuis que tu es partie, j'ai le cœur en peine,
Ton absence fait de moi un étranger à moi-même,
Les souvenirs de nos moments partagés restent,
Comme une douce brise qui me caresse.

Étranger à moi-même, je me sens perdu,
Dans les dédales de mes pensées confuses,
La tristesse m'enveloppe, telle une brume épaisse,
Et je cherche en vain l'éclat de ta tendresse.

L'absence

Par Paul Verlaine

L'absence de ma mère est un gouffre béant,
Qui semble engloutir toutes mes espérances,
Sans elle, les jours sombres paraissent déconcertants,
Et les nuits sans étoiles sont une éternelle souffrance.

L'absence, c'est le vide qui envahit mes pensées,
Le silence qui m'étreint dans cette réalité amère,
Je cherche en vain sa main apaisante, si aimée,
Et je me sens comme un étranger sur cette terre.

Triste étranger

Par Anonyme

Triste étranger, je me sens depuis ton départ,
Perdu dans les méandres de ma douleur,
Je parcours les rues de la vie, sans égard,
Cherchant en vain ta présence pleine de chaleur.

Ma mère, toi qui fus mon guide et mon rocher,
Tu me manques à chaque instant qui passe,
Je suis un étranger dans ce monde brisé,
Où ton amour et ta bienveillance n'ont plus leur place.

La perte d'une mère est une épreuve difficile à surmonter. Les poèmes précédents illustrent la profonde tristesse et le sentiment d'étrangeté ressentis lorsqu'on fait face à la mort de celle qui nous a donné la vie. Que ce soit par le biais des souvenirs, de l'absence ou de la recherche de réconfort, la poésie offre un moyen d'exprimer et de partager cette douleur commune. Puisse-t-elle nous aider à apprivoiser notre chagrin et à trouver l'apaisement nécessaire pour continuer notre chemin.

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